Les gens feraient n’importe quoi pour se faire remarquer. Mais cela commence à devenir une banalité ces employés de banque qui prennent l’argent dans la caisse !
Il semble suffire de quelques manipulations informatiques pour faire circuler les « liquidités » d’un compte à l’autre d’un bout du monde à l’autre-des chiffres, des chiffres, des chiffres.. Il est loin le temps et l’image des « petits porteurs »… de valises façon De Funès-Gabin qui traversaient Paris avec leur « fortune » à bout de bras ou encore ces milliardaires hollywoodiens nageant dans des piscines de billets verts.
Non, aujourd’hui c’est en face des écrans que tout se joue. Et sans doute que les sommes en jeu dépassent l’entendement - d’ailleurs s’agit-il encore de questions d’argent ?
En tout cas, dans les média, on parle déjà de scénario de film, d’interprète… pour envisager l’histoire sur grand écran (!)
Est-ce que la notoriété naissante de ce monsieur lui ouvrira les portes du quartier V.I.P de la prison de la Santé ou bien sera-t-il « remisé » parmi les « sans-grade » de la profession ?
Quoi qu’il en soit, on constatera que dans certaines banques, il est plus facile de dénoncer les sans-papiers à la police que de surveiller les comptes de la société. On constatera aussi, avec les réactions boursières en chaîne, que le système financier mondial est peut-être aux mains de quelques-uns mais qu’il n’est contrôlé par personne.
FADELA-CI, FADELA-LA
C’est un acte symbolique pour une secrétaire d'Etat chargée de la Politique de la Ville d’aller présenter le plan « Espoir Banlieue » du gouvernement à Vaulx-en-Velin, le 22 janvier - ça l’est tout autant d’en dévoiler les grandes lignes le 19 dans le Figaro Madame et le 17 dans toute la presse...
RMISTES CITOYENS
Entre le 29 novembre et le 5 décembre 2007, TNS Sofres a interrogé, à la demande du Haut Commissariat aux Solidarités Actives, un échantillon de 1 000 allocataires du Revenu Minimum d'Insertion, représentatif de la population des allocataires du RMI depuis au moins un an.
"L'objectif de l'enquête est d'étudier à la fois la perception et le rapport des RMIstes à la politique en général et à différentes formes de participation à la vie de la Cité, et de mieux connaître leurs attitudes, attentes et besoins vis-à-vis à l'insertion et du retour à l'emploi."
Cette étude montre l’ambivalence de la relation des allocataires du RMI à l’action politique. A la fois intéressés par la politique mais méfiants à l’égard de son personnel et de ses organisations. Il semble que cette population ne se sente pas représentée par la classe politique qui apparaît comme relevant d’un autre univers d’« en-haut ». Cependant, ils se révèlent comme étant eux-mêmes très investis dans l’acte du vote et dans l’engagement associatif qui se présente comme un moyen d’action concret et non connoté politiquement.
Synthèse de l’enquête et document intégral
sur le site du Haut Commissariat aux Solidarités Actives contre la Pauvreté.
"L'objectif de l'enquête est d'étudier à la fois la perception et le rapport des RMIstes à la politique en général et à différentes formes de participation à la vie de la Cité, et de mieux connaître leurs attitudes, attentes et besoins vis-à-vis à l'insertion et du retour à l'emploi."
Cette étude montre l’ambivalence de la relation des allocataires du RMI à l’action politique. A la fois intéressés par la politique mais méfiants à l’égard de son personnel et de ses organisations. Il semble que cette population ne se sente pas représentée par la classe politique qui apparaît comme relevant d’un autre univers d’« en-haut ». Cependant, ils se révèlent comme étant eux-mêmes très investis dans l’acte du vote et dans l’engagement associatif qui se présente comme un moyen d’action concret et non connoté politiquement.
Synthèse de l’enquête et document intégral
sur le site du Haut Commissariat aux Solidarités Actives contre la Pauvreté.
MONARCHIE (S)ELECTIVE
Nous avons affaire en France à un président certes élu par une majorité de nos concitoyens mais également à une Cour à la fois obséquieuse, admirative et complaisante.
C’est bien sûr le Palais qui fait et défait les modes. Bien sûr. C’est son pouvoir, sa prérogative et son goût. Cependant la configuration de la Cour pourrait se limiter aux camarades de parti, aux admirateurs, aux amis personnels et alliés politiques. Mais non, il faut que viennent porter leur part active aux célébrations présidentielles les professionnels de la profession et néanmoins média.
C’est donc à la Cour que se décide ce qui est bon ou pas, ce qui est utile ou nécessaire, qui il faut sauver et qui il faut ignorer et, in fine, ce qui délimite les contours de notre « civilisation ».
Depuis quelques années déjà le débat avait été amorcé sur la question de savoir qui devait écrire l’Histoire : les politiques (ou fonctionnaires des ministères) ou bien les historiens. La question ne se pose plus.
Mais on avance encore sur le chemin de la rupture annoncée car nous sommes passés, imperceptiblement, de la notion de « pensée unique » à celle de « penseur unique ».
C’est bien sûr le Palais qui fait et défait les modes. Bien sûr. C’est son pouvoir, sa prérogative et son goût. Cependant la configuration de la Cour pourrait se limiter aux camarades de parti, aux admirateurs, aux amis personnels et alliés politiques. Mais non, il faut que viennent porter leur part active aux célébrations présidentielles les professionnels de la profession et néanmoins média.
C’est donc à la Cour que se décide ce qui est bon ou pas, ce qui est utile ou nécessaire, qui il faut sauver et qui il faut ignorer et, in fine, ce qui délimite les contours de notre « civilisation ».
Depuis quelques années déjà le débat avait été amorcé sur la question de savoir qui devait écrire l’Histoire : les politiques (ou fonctionnaires des ministères) ou bien les historiens. La question ne se pose plus.
Mais on avance encore sur le chemin de la rupture annoncée car nous sommes passés, imperceptiblement, de la notion de « pensée unique » à celle de « penseur unique ».
2007 : POWER TO THE PEOPLE....
... power to the people !
Pour cette année 2007, la France aura été marquée par le retour de la pompe, du luxe et de la classe naturelle à la tête de l'Etat.
Pour ce qui concerne le "petit peuple" subjugué, on se passera dorénavant de son avis pour ce qui est des affaires européennes (!)
Pour cette année 2007, la France aura été marquée par le retour de la pompe, du luxe et de la classe naturelle à la tête de l'Etat.
Pour ce qui concerne le "petit peuple" subjugué, on se passera dorénavant de son avis pour ce qui est des affaires européennes (!)
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